Ravenloft/ Juste Belmont

Morales Julien
- Juste Belmont -

C’est par une nuit d’hiver dans la ville de Kresk que la noble famille marchande Belmont, se vue offrir un miracle.
- Ca y est Maria ! Je vois sa tête. Dit alors un Seigneur dans la trentaine. Sa carrure était celle d’un Homme robuste avec une barbiche déjà blanchie par le soucis.
- Taisez vous donc Maximilien ! Ce rejeton n’est que le fruit du démon ! Et la douleur est insoutenable ! Criât une jeune femme colérique, qui pleurait de rage en regardant le bébé sortir de son ventre avec mépris.
- Là je le tiens... Un Nourrisson se tenait drapé dans les bras du père. Le petit être n’avait poussé aucuns cris a sa naissance. Il semblait doter d’un grand calme. Il regardait les yeux de son porteur et jouait d’un air rêveur avec la barbiche de Maximilien.
- Mais ce petit pourceau est blanc comme le lait ! Vite que notre Herboriste attitré vienne immédiatement ! Hurla la matrone horrifiée.
Arriva alors un homme de science aux allure de rôdeurs. La richesse de la famille Belmont c’était faite sur le commerce des herbes médicinales et les potions, huiles curatives. Les Belmont avaient donc droit aux meilleurs soins de la région. Le chercheur en chef de leurs commerce était Héruo, un homme mince et grand. On aurait jurer une asperge vivante. Ses mains était très soignée, mais son visage bourru et renfermé le laisser paraître pour un gredin quelconque.
- Qu’a t-il Héruo ? Demanda inquiet Maximilien.
- Le petit a mon avis n’est pas albinos. Ces cheveux ne sont pas blancs. Ils sont couleurs de votre blason mon seigneur. Comme ces yeux. Ils ne sont pas bleu ni rouge mais d’une couleur platine. Ce petit est le fruit d’un mystère. Voilà cinq année ou j’essaye de développer un remède a la stérilisée du ventre de madame. Aucunes des herbes n’a jamais fait effet. Et voilà que le miracle arrive ! Le nourrisson c’est formé en seulement six mois si je puis dire. Sans que je sois impliquer dedans cette affaire. Il semble être aussi pur que la neige. Cet enfant est a coup sur un cadeau des Dieux ou du Diables. Essayât de démontrer Héruo après une longue analyse.
- Le Diable m’a enfantée ! Je suis damné, et mon honneur de femme avec ! Cet enfant ne doit pas quitter la salle et il doit mourir sur le champ ! Beugla a demi-morte Maria qui essayait de se lever malgré ses effort encore récents.
- Il est hors de question que l’héritier que j’attend depuis cinq année soit livré au sacrifice d’une folle sous prétexte qu’il est l’oeuvre du Diable. Je ne Crois pas aux Démons ni aux Dieu. Ce royaume est abandonné des Dieux. Mais j’opte pour l’espoir d’une vie de sacrifice. Dit alors Maximilien en regardant par la fenêtre la lune.
- Ce soir la Lune est voilée par les ténèbres... Son existence sera donc ainsi voilée. On lui trouvera bien de quoi changer sa couleur de cheveux et ses yeux.
- Jamais je ne souscrirais a ces démarche. Je purifierais cet infâme laiderons a la lumière du jour devant Dieu. Je le jure ! Cria alors Maria exténuée.
-Dort pauvre sotte. La folie et la fatigue on déjà fermé ton cœur de pierre. Chuchota Maximilien dans le creux de l’oreille de Maria sur son lit de vie.



Dix Huit année passèrent. L’enfant baptisé Juste avait hériter d’une beauté angélique irradiante qui allait de pair avec son sang-froid et son regard d’argent.
Son enseignement était aujourd’hui terminer. Son père lui avait enseigner l’art de l’escrime. Cet art noble de défendre, de protéger sa vie. Mais encore plus; son honneur. De son coter pendant son temps libre, Juste avait appris l’orgue, le violon, le pianos. Il trouver dans son contact mélodieux le calme et la rêverie nécessaire a imaginer l’extérieur qui lui avait toujours était interdit.
La femme qui l’avait mis au monde refusé toujours de la voir. Juste avait comblé ce manque de maternité par sa voie de curiosité sur le chemin pieux.
“ Le seigneur est mon berger, avec lui je ne manque de rien.” Juste se voyait a ses huit ans en pleurant sous ses draps en pensant a son manque de maternité.
Juste Cherchais plus que tout des réponses a son étrange héritage. Des cheveux longs argentés, des yeux profond platine aussi pur que la neige et une peau de nacre. Juste pris tous les jours encore plusieurs Dieu de lui apporté une réponse.
Il aimait surtout prendre les passage secret de sa demeure pour aboutir au sous sol où travaillait Héruo. Il avait aussi une connaissance dans la médecine. Il aimait sauver les gens afin de se prouver que son héritage Démoniaque ne l’en empeche d’être ce qu’il est vraiment: Un être Humain égal à n’importe qui d’autre.
C’est cette notion de Justice qu’il recherchait. La racine même de son nom.
“ Trouve-moi des grandes citées de Ravenloft qui soit gouvernée par une femme et je partagerais ta vison d’une justice possible” Jeta alors Héruo en se cachant dans sa longue barbe noire couleur suif.
- D’ailleurs j’ai trouver comment te faire passer inconnue dans les rue de Kresk. Assura le veille homme d’un ton amusé.
- Comment ça mon veille ami ? Demanda Juste de sa voix torturée.
- Courbe-toi légèrement, et prend cette canne. Te voilà en noble pourrissant de veillesse, et disons.... Rajeunis grâce a mes soins. De plus cette canne de magnifique facture est en réalité une rapière. Ricanât Héruo en regardant le jeune homme se dandiner afin d’imiter son père.
Juste examinât avec beaucoup d’attention sa nouvelle arme.
Que de détail sur le pommeau d’argent représentant une tête de chauve-souris collée a celle d’un Loup. La canne était en ébène et présentait deux anneau d’argent. Le premier une main en dessous du pommeau délimité la lame. Le second terminer la canne. Juste tira la lame de son fourreau grossier. La lame était d’un métal d’une couleur égal a ses yeux bien plus dur que n’importe quel métal. A sa base on pouvait voir le symbole de sa famille. Une feuille d’argent.
- De l’adamantium ! S’écriat Juste, jamais je ne pensais avoir une tel arme hormis que dans les veille collection de mon père.
- Avec sa tu est parer a toute éventualité ! Lui dit Héruo en le serrant dans ses bras comme un père.



Dés ce présent qui lui assurais la sécurité dont il avait besoin il partis en hâte apprendre dans sa chambre s’essayais a l’art de la supercherie. A présent grâce aux maquillage qu’il avait il pouvait rendre son visage aussi vieux qu’il le voulais.
Un Bruit sourd se fit entendre sur le seuil de sa porte.
- Tu est enfin devenu un homme ricanât son père en voyant l’image de son propre père. Je tenais a te faire ces présents...
Intrigué et curieux Juste ouvrit une boite en papier de mauvaise facture.
Un habit noble rouge des meilleures facture gisait au fond de la boite a cotés d’une chevalière de famille. On pouvait aussi distinguer une chemise de jais.
- Te voilà prêt a affronter le monde que je t’ai toujours douloureusement interdit. Cet habit a toujours était destiner a mon fils. Et malgré ce que les gens dirons tu es le plus beau et le plus bon des fils que l’on peut espérer. Lui dit son père en le serrant contre son imposante carrure.
A ces mots Juste enfila Les habits donnée et accourra vers la porte d’entrée de sa demeure.
Il fit la rencontre des gens dont il avait toujours soupçonnait l’existence depuis son donjon. Sa mise en scène marchait a merveille.
C’est au petit matin qu’il rentra en courant au manoir familiale. Ce dernier semblait être plonger dans les flammes depuis son départ.

Il entra en trombe dans le hall et vit sa mère entrain d’emplilait les cadavre des domestiques, un couteau a al main.
- Te voilà Fils du Démon, J’ai jurer te tuer de ma main et je vais le faire ! Tu n’aurais jamais du quitter le seuil de cette maison !
- Ne m’approche pas Veille folle, je ne t’ai jamais vu parmis les domestiques !
- Ah oui... Voilà un indice. Dit-elle en fessant rouler la tête de Maximilien au pieds de Juste.
- Tu ne comprend pas ? Tu es maudit tout ceux auprès desquels meurent !
Pris de panique, Juste s’éffronda en larme. Il sentis alors un puissant malaise le foudroyer au cœur. Il arracha son plastron et vit avec horreur qu’un pentacle y figurer au dessus.
- Grâce a cette magie impie je vais pouvoir racheter mes pécher et t’enlever l’âme de mon fils sale démon ! Cette magie puisera lentement dans tes forces jusqu’a ce que tu meurent... Et a ma connaissance il n’existe aucuns remèdes.
Apeuré et ne savant que faire il pris la fuite de la demeure en flamme. Une voie cria son nom. Quasiment étouffée celle-ci venait de la grange.
- Héruo !!! S’écriat Juste en accourant sur le veillards quasiment inerte
- Ton cadeau... Il et protégera du maléfice, il le retardera aux prix de souffrances suplémentaire. Détruit ta mère, détruit le mal sous toute ses forme. Tu peut mettre un terme au loups-garous, au Mort-vivant, il faut se battre dans la vie; Et tu as passer suffisamment de temps ici.
Juste ramassa le plastron d’adamantium que lui tendait Héruo, Il avait taillé avec le plus grand soin une croix sacrée.

Depuis ces événements Juste, n’aspire qu’a la mort des êtres du mal. Et a la recherche de son père demeurant introuvable après deux ans de recherche. Il attendait aussi l’heure venue pour affronter le démon qui avait pris possession de sa mère. Du moins c’est ce qu’il voulait croire.

Chronique Validé

Sacrément folle ta mère, on dirait que c'est elle qui est possédé par le Mal/Tenebre. Faudrait dire comment elle c'est damné. Peut être que le choc de mettre un gosse avec des cheveux blanc et des yeux d'argent la malmené.

J'ai penser ne pas l'expliquer pour que Wilson puisse manier ça a sa guise.
Mais disons que en fait au départ je penser la faire invoquer le diable et lui vendre son âme contre sa fertilitée. Genre Faust.

D'ailleurs j'attend son point de vue