Les royaumes oubliés/Idrissapolis-Ivellios

Je vais poster le début de ma chronique ici ( je sais que j'en ai déjà plus qu'il n'en faut pour remplir une page).

Je suis désolé pour l'attente Fred.

J'ai noté Idrissapolis parce que j'ai du créé un demi-plan pour ce personnage.

Idrissapolis :

Il y a longtemps le demi-plan qui fût créé par des Elians, lorsqu'ils eurent à fuir leur plan matériel d'origine, menacés d'être découverts par les humains qui vivaient à proximité

Les élians ne sont pas des humains. Ils sont devenus une race meurtrie et pourchassée pour leurs mystères et leur puissance sans égal. Leur seul asile et sanctuaire résidait dans une citée ancestrale appelée Idrissapolis. C'était une florissante sociétée regroupant la majoritée d'Elians qui n'avaient pas su se dissimuler parmis les huamins. Le demi-plan se constituait des élians, et de leurs... pseudo-descendance : les humains. Les humains furent transportés dans le demi-plan, lors de sa création, à leur insu. C'est pourquoi ces derniers vivent désormais parmis les élians, sans avoir conscience de leurs existance. Mais aucune de ces prochains élians potentiels ne peut affirmer qu'une partie de la population n'agisse pas de manière plutot étrange. En effet, certaines personnes remarquent que d'autres ne s'assoient jamais à la table d'une auberge, que ce soit pour se nourrir, ou encore pour y dormir... Afin que les humains ne s'apperçoivent pas de leur passage dans le demi-plan, les métacréateurs avaient pris soins de recréer l'environnement dans lequel ils vivaient : les montagnes, les fleuves, le climat, l'aspect de la cité. Tout ceci avait été organisé dans le but de donner au demi-plan, une parfaite ressemblance au plan matériel d'origine.

Dans Idrissapolis, les élians forment une société au sein d'une autre société. Du fait de leur capacité psioniques inégalées, les élians sont qualifiés de psions.

Tout comme les humains, Les élians se trouvent a chacuns une spécialité. Ainsi plusieurs caste furent formées. La population se divisait en sept caste. 75% de la population appartenait a la septième. Un milice dite vulgaire et grossière par les six autres. Cette milice était constituée de guérriers psychiques. Ils représentent la loi, et sont là pour intervenir en cas de trouble. L'élite était divisée entres les castes restantes. Les psions issus de familles aisées, qui se disputaient la prise de pouvoir entre chaque representant de chaque caste. Car aprés tout les elians restent semblables aux humains sur certains points. Leur soif de pouvoir. Et le fait qu'ils soient capables du meilleur comme du pire.
Chaque caste comprenait le plus souvent une "famille" plus puissante que les autres. la constitution de ces familles se faisait en choisissant parmis les humains, les futurs élians qui aurait les mêmes facilitées psioniques et les mêmes similitudes physique. Malgrès leurs rivalités, les élians doivent rester solidaires : chaque caste a sa fonction et sa particularité au sein d'Idrissapolis :
_Tout d'abord la caste des prohètes: il s'agit des psions choissisant la discipline de la clairsentience. Les prophètes peuvent apprendre des facultés de prédiction ils se chargent de récolter des informations auprès des habitants de bien des manières, se servant de leur récolte pour prédir l'avenir, et ainsi empêcher toute sorte de crimes car les humains qui vivent dans ce plan, même s'il n'en savent rien, ont été sélectionné, leur descendance est donc elle aussi digne d'intéret pour les élians.
_La caste des créateurs : les psions qui choisissent de se spécialiser dans la métacréativité sont qualifiés de créateurs. Leur discipline puise dans l'ectoplasme appelé aussi matière du plan astral pour façonner des objets allant de l'état solide à moitié solide tel que les armures, les armes ou encore des créatures artificielles animées sous les ordres du créateur, ce sont eux qui modifient le climat, alternant pluie et beau temps afin que les humains puissent se nourrir de leur cultures.
_La caste des savants : les psions spécialisés dans la discipline de la psychokinésie sont qualifiés de savants. Ce sont les maîtres des facultés qui manipulent et transforment la matière et l'énergie. Les savants peuvent engendrer également des explosions d'énergie particulièrement dévastatrices. Ils s'assurent de la stabilité du demi-plan, en régulant les différents types d'énergies afin de conserver l'équilibre.
_La caste des égoïstes : la caste des égoïstes regroupe les psions qui ont opté pour la discipline du psychométabolisme. Cette dernière consioste en un certain nombre de facultés qui altèrent la psychobiologie des psions ou celles des humains. L'égoïste peut aussi donc soigner que se transformer en redoutable guerrier. Du fait de leur longue existance dans Idrissapolis, les égoïstes se sont spécialisé dans la physionomie humaine, ils représentent donc les médecins.
_La caste des nomades : la caste qui maîtrise les facultés de psychoportation sont appelés les nomades. Ces derniers rcourent à des techniques qui projètent ou déplacent les objets dans le temps ou l'espace.
_La caste des télépathes : la caste des psions qui choisissent la discipline de la télépathie sont surnomés "télépathes". Ce sont des experts en matière de contact mental et de contrôle d'autres créatures douées de conscience. Le télépathe peut tromper ses ennemis ou réduire à néant leurs esprits avec une grande efficacité et une facilité déconcertante. Les télépathes sont assistés par les nomades afin d'effacer, le cas échéant, la mémoire d'un humain qui aurait découvert l'existance des élians.

Chaque caste s'occupe d'entraîner les nouveaux nés, c'est à dire, les humains qui viennent de subir le rituel pour devenir élian. Mais les capacités qu'enseignent les familles sont perçues comme une élévation de l'esprit plutôt qu'un entrainement millitaire.

Fred:: Bon début de chronique, si tu veut plus d'inspiration pour la vie sur ton plan je te conseil de te procurier un film qui s'apelle DARKCITY

L'élévation spirutuelle s'opère plus aisément a l'adoléscence. Et c'est a ce même age qu'un jeune Humain se vit honorer du rituel de transformation. Il était assit au milieu d'un cercle formé par des élians, ces derniers agenouillés et fixant sans relâche le jeune humain. Tout à coup, celui-ci s'éleva dans les airs. Alors qu'il lévitait, les élians se levèrent en gardant leurs avant bras en direction du jeune homme, mains ouvertes dirigées vers le ciel. C'est alors que le jeune humain, qui se nommait alors Slavyn, sentit une étrange vague de chaleur parcourir son corps, et remonter vers son crâne. A présent le corps de Slavyn redescdent doucement vers le sol.

L'un des élians s'approcha de lui :
_Le rituel est terminé, tu es maintenant l'un des notres, tu appartiens à la caste des créateurs. Nous pourrons te transmettre notre savoir, mais nous devons tout d'abord t'isoler dans une cellule car tu dois trouver le moyen par toi même de sustenter ton corps grâce à ton esprit.
_Mais... je ne sais pas du tout comment faire.
_Ne t'inquiète pas tu trouveras, tu en as maintenant la capacité.
Avant de se retirer l'élian lui adressa un sourrire et rajouta:
_Au fait, je m'appelle Mildak.

Slavyn opina, mais en gardant une expression d'appréhension, sachant maintenant ce qui l'attendait. Deux autres élians vinrent à ses côtés, l'un d'eux posa sa main sur l'épaule de Slavyn. Ce dernier se retourna et vit alors que l'élian lui faisait signe de se diriger vers une arrière sale. Slavyn s'exécuta, il avança vers la porte, l'ouvra d'une main tremblante et observait des escaliers qui descendaient dans l'obscurité, ceci n'arrangeant pas ses craintes. D'un pas hésitant il descendait les marches suivit des deux autres élians, qui eux avaient eut la présence d'esprit de se munir de torches. Arrivé en bas de l'escalier, un des élians passa devant Slavyn et ouvra la porte d'une cellule, faisant signe à Slavyn d'y entrer. Le nouveau né avança et l'élian ferma la porte derrière lui. Pendant qu'il verrouillait la porte, l'élian lui dit :
_Tu as bien de la chance, le plus puissant d'entre nous, le cérébromancien Mildak semble s'intéresser tout particulièrement à toi, ton avenir d'élian à un bien bel horizon. Nous allons te laisser une semaine, jour pour jour. Dans 7 jours, à la même heure, nous reviendrons te chercher et ainsi tu pourras bénéficier du savoir de Mildak.
Les deux élians se dirigèrent vers la sortie, laissant à Slavyn une torche en guise de compagnie.

A la fin de la première journée, Slavyn ressentit le manque de vivres, il tournait en rond en gardant les mains sur son abdomen en se demandant comment il pourrait trouver le moyen de survivre, alors qu'il n'avait aucune des notions lui permettant d'utiliser son esprit. Trop fébril pour rester debout, il se laissa tomber. La seule issue à cette situation lui parraissait beaucoup trop tragique, il commença à regarder autour de lui, cherchant un moyen de s'échapper. Aucun outil pour se débarrasser des barreaux... Il observa la cellule un moment : les murs, le plafond, le sol. Il n'avait pas la moindre chance. En pensant à cette évidance, Slavyn frappa le sol de sa main droite. Lorsqu'il observa le point d'impact, il s'apperçu que son coup avait effrité la pierre. Slavyn réfléchit, il n'avait rien d'autre à faire que de tenter de s'échapper, alors même si ce choix était désespéré, il saisit sa ceinture et se servit de la boucle pour continuer à effriter la pierre. Au bout d'une heure de travail intensif, Il observa le petit trou qu'il avait fait. Il se leva promptement et dans un élan de colère, jeta sa ceinture dans le trou. Seulement lorsque celle-ci frappa le fond du trou, Slavyn entendit un bruit différent de celui qu'il avait entendu pendant une heure. Curieux, il s'avança et se servit de ses mains pour dégager ce qui dépassait de la roche fragile. Il extirpa une sorte de carnet recouvert de poussière. Il l'épousseta et découvrit des inscriptions : "Journal d'Ivellios".

Il ouvrit le journal et commença la lecture. Cet Ivellios semblait n'appartenir à aucune race présente dans Idrissapolis, ni humain, ni élian. En feuilletant le journal, Slavyn trouva un croquis représantant des personnes ayant un aspect humain, mais une silouhette qu'il n'avait jamais vu jusqu'à présent : des visages très fins, des formes élancées et surtout, des oreilles étonnament longues et pointues. Ces personnes semblaient faire partie de la famille d'Ivellios, mais dans son journal, il explique qu'un beau matin, lorsqu'il termina sa méditation, il se trouvait seul dans un endroit qui ressemblait à son domicile, mais il n'y avait que lui dans la maison. Ensuite Ivellios décrivit des humanoïdes. Aucun doute pour Slavyn, ces personnes étaient bel et bien des élians. Elles étaient venu rendre visite à Ivellios dans le but d'effacer sa mémoire, mais ayant un métabolisme différent du savoir des élians, ils ne parvinrent pas à leur fin. Ils décidèrent donc de l'enmener en lui expliquant la situation, tout de suite Ivellios comprit qu'il ne revérait sans doute jamais sa famille. Alors, les élians décidèrent en compensation de lui offrir la vie éternelle. Ivellios subit le rituel et se retrouva dans la même cellule que Slavyn, mais le changement apporté par le rituel n'eut pas l'effet désiré. En effet le corps d'Ivellios rejeta la modification apportée par le rituel, il commençait à flétrir, cependant il découvrit comment se sustenter et en décriva sa méthode. Il lui fallait se concentrer sur les besoins de son corps, puis sur les organes concernés, en visualisant la réponse à ces besoins, il ne sentait plus la faim, ni la soif durant une journée. Slavyn tenta l'expérience et désormais, son ventre ne criait plus famine. Il comprit que la vie d'Ivellios s'acheva dans la cellule où il était assis.

Durant la semaine, Slavyn n'avait plus aucune difficulté à se sustenter, et il s'apperçu également qu'il n'avait plus besoin de dormir, mais plutôt d'entrer en méditation. Lorsque la semaine se termina, les élians vinrent ouvrir la cellule. Slavyn garda le journal sur lui et se dirigea vers la sortie de l'arrière sale. En sortant il fut éblouit par la lumière de l'astre lumineux, ses yeux étant trop habitués à l'obscurité. Cependant dans ce halo lumineux il apperçu une silouhette cachée par le contre-jour.